"À l’heure du retour de la conflictualité dans les relations internationales, notamment sous la forme de guerre ouverte entre États, Jean-Baptiste Jeangène Vilmer prend acte de la dégradation nette et constante de la sécurité mondiale depuis le début du XXIe siècle pour en retirer des principes analytiques renouvelés" (Etudes, mai 2025, p. 137-138)
"les modifications du champ militaire : distribution de la puissance, imprévisibilité des acteurs, facilité d’accès aux techniques d’armement et de communication, quasi-disparition de la dissuasion nucléaire comme facteur modérateur — et brouillage des limites entre guerre et paix, public et privé, armée et police… Ce brouillage crée une ambiguïté qui, pour Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, ancien directeur de l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (Irsem) à Paris, si elle aide à déstabiliser l’adversaire, revient surtout à « arsenaliser » l’économie, l’énergie, la faim, la pêche, les réfugiés, l’information, le droit ou la santé : « Tout peut devenir une arme »" (Le Monde diplomatique, avril 2025, p. 24)
"Il est rare qu’un ouvrage présente d’une manière aussi claire, informée et pédagogique la situation géopolitique" (Dominique Schnapper, Telos, 15 mars 2025)
"La guerre est devenue permanente. (...) l’analyse de Jean-Baptiste Jeangène Vilmer permet de bien comprendre, en 2024, comment et pourquoi cette prophétie s’est réalisée, au point d’imprégner tous les compartiments des relations internationales. (...) Le propos de Jean-Baptiste Jeangène Vilmer est d’autant plus agréable qu’il pourfend au passage plusieurs idées reçues, avec un argumentaire bien charpenté." (Revue Défense Nationale, n°876, janvier 2025, p. 130-132)
"Un ouvrage éclairant (...) à lire pour comprendre les défis stratégiques de notre époque" (CyberCercle)
"Dans son dernier essai Le Réveil stratégique. Essai sur la guerre permanente, Jean-Baptiste Jeangène Vilmer dresse un tableau complet des dangers qui nous guettent en cette période de reconfiguration brutale des rapports de forces dans le monde. (...) éclairant" (La Croix, 7 novembre 2024)
"Une analyse percutante sur l’entrée dans une nouvelle ère géopolitique et sur les défis auxquels nous devons nous préparer" (La Dépêche du Midi, 28 octobre 2024)
"Pour comprendre un peu mieux le chaos d’un monde devenu toujours plus incertain, lire l’essai de Jean-Baptiste Jeangène Vilmer sur la guerre permanente est édifiant. (...) Un essai percutant à lire absolument pour comprendre un peu mieux le chaos d’un monde devenu toujours plus incertain. (...) Jean-Baptiste Jeangène Vilmer est un chercheur fécond comme en témoigne son livre La guerre au nom de l’humanité, tuer ou laisser mourir (PUF 2012), sur les interventions internationales humanitaires. Ambassadeur au Vanuatu depuis deux ans, il est aussi en première ligne pour se confronter concrètement à tous les enjeux de l’espace indo-pacifique où se situe aussi la plus grande partie du domaine maritime français qui reste le second au monde. (...) Le diagnostic de Jean-Baptiste Jeangène Vilmer est implacable : « On a trop longtemps pris les choses à l’envers : ce n’est pas la force mais la faiblesse qui conduit à l’escalade »." (Marc Semo, Challenges, 3 octobre 2024)